Lors d’une récente conférence de presse, Christian Estrosi a évoqué l’avenir du Grand Prix de France de Formule 1, réintroduit en 2018 sur le circuit du Castellet, dans le Var.
Le 24 juin dernier, Lewis Hamilton remportait le Grand Prix de Formule 1 de France au volant de sa Mercedes. L’épreuve se disputait sur le circuit Paul-Ricard du Castellet. Une première depuis 28 ans ! Et un succès colossal : quelque 160 000 visiteurs s’étaient déplacés dans le Var, non sans créer des embouteillages montres autour du circuit.
La France présente au-delà de 2022
Retirée du calendrier pour une période de dix ans en 2008, la course se déroulait auparavant sur le circuit de Nevers, à Magny-Cours, dans la Nièvre. Réintroduite en 2018, elle fait désormais partie intégrante de la saison en F1. Et tous les signaux sont au vert. Pour Christian Estrosi, président du Grand Prix de France, « nous avons été extrêmement bien notés sur la performance sportive de la première édition ». De quoi envisager de pérenniser le Grand Prix de France de manière durable. Des entretiens sont prévus en janvier avec la société organisatrice de de la F1. D’après Christian Estrosi, cette dernière est soulagée de savoir que la France offre toutes les garanties pour rester « présente dans le circuit au-delà de 2022″.
La France a en effet été choisi pour organiser l’événement au moins jusqu’en 2022. Restera-t-elle pour autant sur le tracé varois ? Sans doute pas « éternellement » pour le maire de Nice. Une rumeur court en effet sur la possibilité de la faire alterner d’une année sur l’autre entre les circuits du Castellet et de Magny-Cours. Affaire à suivre !