Brève

Google Play bientôt disponible en intégralité à Monaco

Monaco Google
Kent Walker, membre du Comex Alphabet, aux côtés du Prince Albert II- © DR

Le Prince Albert II s’est rendu au début du mois de février en Californie, pour échanger avec les dirigeants de Google et travailler sur les synergies envisageables avec Monaco. A cet égard, les monégasques bénéficieront prochainement d’un accès complet à Google Play.

 

Le Prince Albert II de Monaco, accompagné d’une délégation monégasque, était, le 3 février dernier, sur le site de Mountain View, en Californie. Il est venu rencontrer les dirigeants de Google, évoquer les domaines de collaboration possibles avec la Principauté et la manière dont les entreprises numériques peuvent avoir une contribution majeure aux défis environnementaux auxquels la planète est confrontée aujourd’hui. L’environnement est en effet un thème cher au Souverain. Il a notamment créé en 2006 sa propre Fondation en Principauté pour répondre aux défis majeurs environnementaux.

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Accès complet au catalogue

 

A cette occasion, Google a annoncé que la société offrira dans un avenir proche un accès complet au catalogue et aux services Google Play à la Principauté.

« Nous sommes impatients d’offrir aux Monégasques, résidents et entreprises les meilleures solutions numériques au monde. L’accès au catalogue complet et aux options de Google Play est depuis longtemps une demande des particuliers et des entreprises. Je suis ravi qu’aujourd’hui nous puissions apporter une réponse positive à cette demande », s’est félicité Frédéric Genta, délégué interministériel à la transition numérique.

Monaco est à la pointe de la high tech. La Principauté a en effet donné naissance en 2017 à MonacoTech. Cofondé en 2017 par la Principauté de Monaco, Monaco Telecom et Xavier Niel, l’incubateur de start-up accompagne près de 15 start-up valorisées à plus de 120 millions d’euros.

Créée en 2012, Google Play est une plateforme multimédia de mise à disposition de jeux, films, applications, émissions de télévision et livres. Plus de deux milliards de personnes dans le monde l’utilise.

 

Sandra Bensoussan