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Brève

Quand les meilleurs chefs sushi européens s’affrontent à Monaco

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Championnat du monde, de France.. Il y a maintenant un championnat d'Europe de sushi et Monaco a accueilli sa première édition. © Direction de la Communication / Frédéric Nebinger

La semaine dernière, le restaurant The Niwaki accueillait le premier championnat européen de sushis.

Tout au long de cette journée du lundi 27 mars, dix chefs sushi se sont défiés dans leur domaine d’expertise. À la clé, un récompense de 1000 euros et la reconnaissance de devenir champion d’Europe de sushi. Parmi les pays représentés : la France, Monaco, l’Italie, la Roumaine, la Norvège, le Portugal, la Pologne, ou encore la Suède.

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  • Le chef français Michaël Pankar. © Direction de la Communication / Frédéric Nebinger

« Un bon sushi : il faut comprendre que le poisson est très important mais, plus important que le poisson, c’est le riz. Si le riz n’est pas bon, il n’y aura pas cette osmose entre le riz et le poisson », partage le Chef Wagner, nommé champion de France de sushi en 2017 et vice-champion du monde en 2018, qui préconise d’ailleurs « de ne jamais manger un riz qui est froid mais à température ambiante ».

  • © Direction de la Communication / Frédéric Nebinger

Pour ce premier championnat d’Europe, les dix candidats se sont affrontés dans deux épreuves. L’une, préparatoire, visait à juger leur niveau technique et l’autre, créative, imposait aux chefs de créer un plateau de 40 à 50 sushis variés en l’espace d’une heure, en plus de deux pièces « signature ». La forme du sushi et la manière de traiter le poisson étaient les principaux éléments observés par les juges.

  • Les jurys jugent chaque plateau personnalisé des chefs. © Direction de la Communication / Frédéric Nebinger

Après délibération du jury, Michaël Pankar remporte la compétition. Le chef français est ainsi devenu champion d’Europe de sushi. Il termine devant l’italien Diego Vianello, le chef roumain Zaharia Sorin, et Shandhi Peter de Costa, de Pologne. Côté monégasque, c’est le sushi chef du Buddha Bar, Vamen Lyfoung, qui représentait la Principauté.