La photo des coulisses du mariage de la Princesse Charlène fait la couverture du livre de Julian Lennon
Le récent livre de photos de Julian Lennon s’intitule « Life’s Fragile Moments » et présente plus de vingt ans d’images de mode, de paysages et de portraits. Mais c’est la Princesse Charlène qu’il a choisie pour la couverture.
Forbes a trouvé ce choix de photo de couverture intriguant et y a consacré un article récent.
Il s’agit plus exactement de la photo de Charlene Lynette Wittstock, prise environ 10 minutes avant son mariage avec le Prince Albert II, le 1er juillet 2011. Son ami Julian Lennon était en coulisses avec elle et la photographiait en train de se préparer.
Dans l’article, le résident monégasque évoque un moment de doute de la part de la Princesse avant le mariage. « Elle est restée assise à se regarder dans le miroir, un peu engourdie. Elle s’est tournée vers moi et m’a dit : ‘Jules, je ne sais pas si je peux le faire’. Je lui ai demandé de quoi elle parlait. Elle m’a dit : ‘Je ne peux pas le faire, je ne suis pas sûre de pouvoir faire les photos, il y a trop de distractions’ ». Sa réponse : « Laissez-moi juste être une mouche sur le mur ».
Parmi les centaines de photos qu’il a pu prendre ce jour-là, il a tellement aimé la photo de Charlène se regardant dans le miroir avant son mariage qu’il l’a choisie pour la couverture de Life’s Fragile Moments.
Julian Lennon explique à Forbes, « Je l’ai recadrée d’une certaine manière et je me suis dit, oh mon Dieu, ça y est ; c’est la Princesse Grace, c’est les années 1950. J’ai donc tourné toutes les photos en noir et blanc », pour donner la même impression que Time ou Life magazine, à cette époque.
Cette image saisissante a également été utilisée sur la page d’accueil de sa récente rétrospective photographique, Whispers, à Venise.
Il explique que le titre du livre, Life’s Fragile Moments, est inspiré de sa propre expérience de la vie. « Il s’agit de ces petites secondes de la vie, de la vie des gens, des choses et des paysages qui nous entourent et qui changent en un clin d’œil. »
Comme le moment où une nageuse olympique sud-africaine est devenue une Princesse Monégasque.